Immortaliser les défunts sur peinture était un rite assez courant durant de nombreuses décennies.
Cette pratique est née sous la royauté de la reine Victoria I au Royaume-Uni, avant que la révolution industrielle ait changé les habitudes familiale, et de laisser place à la photographie post-mortem, et on doit avouer que cette tradition était quand même bien glauque …
C’est grâce à l’invention du daguerréotype, précurseur de notre appareil photo, conçu par Louis Daguerre, que l’on a pu célébrer les morts de façon différente. La réalisation de peinture, alors à l’époque statuée trop chère pour le manque de qualité et le trop peu de réalisme qu’elles apportaient, ont été délaissées par la société et remplacées par des « shooting-photo post-mortem» quelques peu dérangeants. Mais il faut savoir, qu’à l’époque, la majorité de ce commerce a pu exister, à cause du grand nombre de décès infantiles et maternels. En général et avant chaque shooting-photo post-mortem, les défunts étaient embaumés et mis en scène afin de rendre les clichés moins morbide. Bizarre, vous avez dit bizarre ? Heureusement pour nous, cette tradition est tombée en désuétude, on se demande bien pourquoi pas vrai ?