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Dans l’émission “Sept à huit” de dimanche 18 octobre, Laeticia Hallyday est revenue sur le moment où Johnny a appris son cancer.
Laeticia s’est souvenue des premiers signes de la maladie: Johnny se trouvait aux USA pour son dernier road-trip, il “était très fatigue mais il ne savait pas qu’il était malade”. “J’ai senti déjà au téléphone qu’il était fragilisé, qu’il était faible, a raconté Laeticia Hallyday. Il n’a pas montré sa souffrance à ses amis mais il la partageait avec moi. Il partageait sa grande fatigue.” Conscient que quelque chose n’allait pas, Johnny Hallyday avait “très peur de ne pas pouvoir aller jusqu’au bout”.
Laeticia Hallyday est partie retrouver Johnny à Santa Fe. “J’ai senti qu’il était au bout de souffle et qu’il avait du mal à respirer. Et ça m’a beaucoup inquiété.”
Elle a demandé à Johnny Hallyday d’aller passer des examens à l’hôpital avec son médecin traitant. “On pensait que c’était une infection. Il n’a pas pu être opéré. C’était un cancer de stade 4, un cancer agressif à petites cellules.”
Laeticia a préféré lui taire une partie de la vérité pour protéger Johnny. Elle ne voulait pas lui dire que ses médecins ne lui donnent que quelques mois à vivre: “On me dit qu’il en a pour trois mois donc à ce moment-là tout s’écroule”.
Elle explique alors avoir été à terre à ce moment : “On est un genou à terre. On ne sait pas comment on va faire, comment on va lui dire. On ne sait pas comment il va le supporter, comment il va se battre. Est-ce qu’il va avoir la résistance ?,elle a expliqué ce qui l’avait poussée à ne pas lui révéler cette vérité importante. J’ai passé la nuit à l’hôpital avec lui et il m’a dit : ‘Dis-moi ce que c’est. Est-ce que c’est un cancer ? Est-ce que je vais mourir ? Est-ce que je vais crever ?’ Et je ne pouvais pas lui dire, ce n’était pas le moment.” Incapable de lever le voile sur l’état de santé de Johnny Hallyday, Laeticia a préféré que ce soient les médecins qui lui annoncent son cancer mais pas le pronostic. “J’ai demandé à ce qu’on ne lui dise pas”.
Un choix qu’elle maintient : “J’ai eu raison, je ne le regrette pas. Parce que le combat a duré quinze mois et je crois qu’il n’aurait pas duré aussi longtemps si on lui avait dit la vérité”.
source: Closer
