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Mercredi 11 mars, Harvey Weinstein a été condamné à 23 ans de prison par le tribunal pénal de Manhattan, à New York, trois ans après que de nombreuses femmes soient sorties de leur silence, concernant les agressions dont il était accusé.
Fin octobre 2017, quelques semaines après la publication de l’enquête du New York Times, un journaliste du tabloïd The National Enquirer avait contacté Harvey Weinstein pour lui demander une réaction sur une rumeur selon laquelle il aurait sexuellement agressé Jennifer Aniston. “Jen Aniston devrait être tuée”, lui avait alors répondu le producteur dans un mail, qui a été rendu public après sa condamnation.
Harvey Weinstein qui est depuis le début du scandale réputé pour avoir acheté le silence de ses victimes, disposait notamment d’une “liste rouge” des femmes susceptibles de le dénoncer.
Stephen Huvane, le porte-parole de Jennifer Aniston, a affirmé dans un communiqué du Hello Magazine, que cet article n’était jamais paru dans le National Enquirer, car Jennifer Aniston avait démenti ces rumeurs: “Il ne s’est jamais assez rapproché d’elle pour la toucher. Elle n’a jamais été seule avec lui”, précise-t-il.
source: Closer
