Il y a quelques temps, une “île du sexe” a vu le jour dans les Caraïbes et cela avait fait couler beaucoup d’encre.
En effet, beaucoup de gens critiquaient cette île et ils trouvaient que c’était une chose très dégradante pour la gente féminine car les femmes sur place devaient répondre aux moindres désirs des clients et elles ne pouvaient pas s’objecter à quoi que ça soit.
La révélation de l’existence d’un séjour touristique aux allures d’orgie où la drogue est «tolérée» continue de faire des vagues en Colombie. «C’est une vidéo obscène qui ne correspond pas à l’image du tourisme que nous voulons dans notre ville», a déploré Sergio Londono Zurek, le maire de Carthagène des Indes, parlant du clip vidéo de promotion de l’entreprise Good Girls Company qui vend le séjour polémique: pendant trois jours, 30 voyageurs prendront du bon temps sur cette île située au large de Carthagène selon une vidéo promotionnelle parfaitement explicite qui laisse peu de doutes sur le but du voyage.
Le voyage devait initialement se dérouler entre le 24 et le 27 novembre, mais certains voyageurs ont demandé aux organisateurs de prolonger l’expérience d’une semaine en échange de 10 000 $ chacun. Face à la situation, la compagnie a accepté et la fin du voyage avait donc été planifié pour le 4 décembre.
À l’origine, le voyage devait avoir lieu en direction d’une île située au large des côtes colombiennes, mais les organisateurs ont finalement décidé de changer leurs plans suite à la levée de boucliers provoquée par la mise en ligne de leur première vidéo promotionnelle. Les autorités colombiennes ont en effet montré les crocs en promettant d’expulser tous les participants avant qu’ils ne puissent faire leur croisière. En conséquence, Good Girls Company a choisi de changer de crèmerie et d’organiser le voyage en direction d’une île privée située dans les Caraïbes.
Nous ne savons pas si la croisière a finalement pu avoir lieu, mais en tout cas la compagnie propose des “holiday sex” que l’on peut voir ici, et également sur leur compte Instagram, donc nous pensons qu’ils ont réussi à trouver des solutions.