Thomas Bosch et ses collègues de l’université de Kiel en Allemagne ont fait une découverte qui risque de révolutionner la génétique.
En effet, ils ont réussi à isoler le gène de l’immortalité de l’, ce petit animal aquatique primitif qui est biologiquement immortel grâce à la sur-expression de son gène “FoxO”.
Ce gène permet le maintien d’un stock constant de cellules souches (c’est à dire non spécialisées) qui permettent de renouveler à l’infini tous les tissus du corps de l’hydre. Présent chez les êtres humains, ce gène diminue au fil du processus normal de vieillissement contrairement à l’hydre.
Il ne reste “plus” qu’à trouver le moyen de contrer sa diminution au fil du temps chez l’humain pour permettre, théoriquement, de vivre éternellement.